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BASILIQUE SAINT FRANCOIS
En 1228, Grégoire IX est à Assise et procède à la canonisation de Saint François en l'église St-Georges, où repose son corps. A la demande du pape, le frère Elie, ministre général, entreprend bientôt la construction de la Basilique de St.François et Couvent Sacré où devait reposer le corps du saint. La partie inférieure de l'édifice étant achevée, c'est le 25 mai 1230 que le corps de Saint François fut transféré secrètement et y fut si bien caché que ce n'est qu'en 1818 qu'il fut découvert. En 1253, Innocent IV vint consacrer la basilique complètement édifiée et appelée désormais "Tête et Mère de l'Ordre des Frères Mineurs". L'ensemble basilical est constitué de deux églises superposée - l'Inférieure (1228-1230) et la Supérieure (1230-1253) - et d'une crypte, creusée en 1818, où est conservé le corps du Saint. On entre dans la première de la place inférieure, délimitée par des arcades du XVe e siècle. Le beau portail géminé est orné de trois rosaces. La plante est à double T. L'église fut décorée par les plus grands peintres du XIIIème et XIVème siècles par Cimabue, Giotto, Lorenzetti et Simone Martini. On y trouve de magnifiques vitraux de Giovanni di Bonino et de Puccio Capanna. L'église supérieure, d'une seul neuf, est décorée par des fresques de Giotto, qui illustrent la vie du Saint, de Cimabue, Cavallini, Torriti, et renferme des stalles en bois d'une grande valeur de la fin du XVème siècle. Dans le couvent, le Trésor renferme des codes enluminés, des tableaux, des reliquaires sacrés et des devant d'autels. Très intéressante est la collection Perkins.Benoît XIV l'éleva au rang de basilique patriarcale et de chapelle papale en 1754. La dédicace se fête chaque année le 24 mai.
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CATHEDRALE DE SAINTE CLAIRE
Après trois ans de la mort et un an de la canonisation de St. Claire en 1257 commencèrent les travaux de construction de l'eglise et du couvent contigu des Clarisses, qui à partir de 1212 avaient vecu à S. Damiano. L'aire était celle de l'église de St. Georges, où St. François avait été enterré avant sa translation dans la basilique en 1230. L'édifice est caractérisé par son exécution en bandes rouges et blanches, y compris les majestueux arcs rampants de soutien aux deux côtés de l'église. Sur le côté droite de la nef s'ouvre la "Chapelle du Crucifié", qui, avec la "Chapelle du Saint Sacrement" successive, avait été une partie de la nef de l'église de St. Georges précédente, où Grégoire IX proclama Saint François en 1228. Le „Crucifié" peint sur bois dans la chapelle du même nom serait celui qui avait parlé à St. François en lui ordonnant de reconstruire l'Église. Derrière la grille se trouvent des reliques de St. François et de St. Claire. Dans la chapelle successive, une fresque par Puccio Capanna (1340-46), „Vierge à l'Enfant en trône avec St. Claire, Jean baptiste, l'Archange Michel et François", et d'autres fresques de l'école de Giotto et de Lorenzetti. Dans la croisée de droite, un tableau avec la „Vie de St. Claire" par le soi-disant Maître de St. Claire (fin du XIIIème siècle); des fresques avec des scènes bibliques et de St. Claire par le soi-disant Maître Expressioniste de St. Claire (première moitié du XIVème sec.). Le maître-autel est entouré par une colonnade de 12 colonnes polygonales, une œuvre d'un tailleur de pierres ombre du XVème siècle, avec une grille en fer forgé du XVIIIème siècle. Dans la croisée de gauche, une fresque détachée avec une „Nativité" à la manière de Giotto du XIVème siècle. Le tableau style byzantin du genre Hodegetria surlle mur de gauche, „Vierge à l'Enfant", est d'un artiste inconnu du XIIIème siècle. Dans les lunettes, des scènes de l'Ancien Testament, similaires à celles du cycle supérieur de la basilique supérieure de St. François (fin du XIIIème siècle). Dans la crypte, construite en 1850-72 et modifiée en 1935 en formes néo-gothiques, est conservé le sarcophage avec le corps de St. Claire, retrouvé en 1850.
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VIA SAN FRANCESCO
Le long rectiligne de la Via S. Francesco conduit de la basilique vers Piazza del Comune. Sur son côte gauche donne la Casa dei Maestri Comacini, une maison appartenue dans le XVème siècle à des maîtres de la construction de Como actifs dans la zone; pour un long trait suit la façade baroque du Palazzo Giacobetti (realisée par Giacomo Giorgetti, XVIIème siècle), avec un balcon central monumental soutenu par des grandes consoles. Il contient la Bibliothèque Communale, les Archives du Sacré Couvent, les Archives Communales et ceux des Notaires. Parmi les bijoux de la Bibliothèque, la Bible de St. Ludovic de Toulouse avec des belles miniatures françaises du XIIème siècle et le plus ancien texte des Écrits de St. François et du Cantique des Créatures. En face, l' Oratorio dei Pellegrini.Il fut érigé en 1432 par la Confraternité de St. Jaques et St. Antoine. La fresque sur la façade, „Christe ressuscité et St. Jaques et St. Antoine Abbé", est une œuvre de Matteo da Gualdo (1468). L'intérieur est presque entièrememnt recouvert de fresques de Matteo da Gualdo, Pier Antonio Mezzastris et Andrea d'Assisi (appelé "l'Ingegno"). Un peu plus loin, toujours sur le côté droite de la rue, s'ouvrent les sept arcades du Portico del Monte Frumentario, un ancien hôpital et hospice du 1267, suivi par la Fonte Oliviera,une belle fontaine du 1570.
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CATHEDRALE SAINT RUFINO
L'actuelle église romaine eut deux églises qui la précédèrent: la première du VIIIème siècle, la deuxième, une basilique à trois nefs, érigé par l'évêque Hugues vers 1030, dans laquelle fut transféré en 1036 la cathédrale (de S. Maria Maggiore), et de laquelle se sont conservés la crypte et le clocher, tandisque les nefs étaient situées audessous du parvis actuel. L'édifice actuel fut commencé sous l'évêque Chiarissimo en 1134 par Giovanni da Gubbio. La façade se présente en style classique roman ombre de Spoleto et est richement sculptée. Une corniche décorée de figures d'animaux monstrueux conclut le premier groupe de panneaux. Avec une fausse galerie de petits arcs commence la deuxiéme partie avec deux rosaces latérales et celle centrale, encadrée par les symboles des quatre Évangélistes. L'intérieur basilical à trois nefs en 1571 subit une modification radicale Renaissance tardif par Galeazzo Alessi. De la décoration originelle reste au début de la nef de droite les fonts baptismaux, dans lesquels furent baptisés St. François et St. Claire. Au-dessus le dernier autel sur la droite, „Christ et saints" par Dono Doni (1555), par le même peintre de Assise, aux deux autels à côté du maître autel, „Déposition" (1563) et „Crucifiction" (1563). Dans l'abside, des belles stalles en bois sculpté et marqueté par Giovanni di Pier Jacopo da S. Severino Marche. Dans la nef de droite, se trouve l'entrée au Museo Capitolare. On y conserve des fresques détachées de l'Oratorio di S. Rufinuccio, probablement par Puccio Capanna (1330-40), „Flagellation", „Crucifiction" et „Déposition". Selon la tradition, le corps de St. Rufino fut enterré dans le sarcophage romain avec la représentation du mythe de Diane. Dans la voûte de l'abside se sont conservées de restes de fresques avec les symboles des Évangélistes (XIème-XIIème siècle).
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LE TEMPLE DE MINERVE
Le temple remote à l'époque républicaine tardive, c'est à dire, au Ier siècle av. J.-Christ. Il fut érigé par les quatuorviri Gnaeus Cesius et Titus Cesius Priscus à leur frais, mais très probablement, il ne fut dédié à Minerve, comme on pensait à la suite de la découverte d'une statue de femme, mais plutôt à Hercule, duquel une plaque votive a été découverte. La façade est vraiment bien conservée et encore dans son état originel, avec ses six colonnes cannelées aux chapiteaux corinthiens, qui posent sur des plinthes situés sur l'escalier qui pénètre dans le pronaos par manque de place. En 1539, dans sa cella rectangulaire, défoncée à ce but, fut bâtie l'église de S. Maria sopra Minerva, modifiée en style baroque au cours du XVIIème siècle. Pour Johann Wolfgang von Goethe, en occasion de son voyage en Italie, ce fut „le premier monument intègre de l'antiquité" qu'il vît et en resta enthousiasmé (1786). C'est d'ailleurs curieux que Goethe n'aît pas daigné jeter un regard au Sanctuaire de St. François, un fait qui lui procura des ennuis au moment de son départ pour Foligno, vue que il fut pris pour un contrebandier, et il en sorta seulement grâce au mensonge de l'avoir vu autrefois.
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