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VISITER ORVIETO
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CATHEDRALE D'ORVIETO
Au sommet de la colline d’Orvieto et dominant les autres édifices, se dresse la Cathédrale d’Orvieto, dédiée à l’Assomption de la Vierge Marie, une des œuvres les plus grandioses de l’architecture médiévale italienne. De style gothique, elle est notamment célèbre pour sa façade, resplendissante au soleil couchant, ainsi que pour la Chapelle de Saint Brice ("Capella San Brizio") décorée de fresques peintes par Fra Angelico et Luca Signorelli. La première pierre fut posée le 13 novembre 1290 par le pape Nicolas IV. Dénommée pendant plus de quatre siècles "Santa Maria delle Stella" elle fut rebaptisée Santa Maria Assunta in Cielo au XIXe siècle. Durant la première période de la construction, les travaux ont été dirigés par Fra’ Bevignate mais c’est avec l’arrivée de Lorenzo Maitani (1308) que des modifications radicales au projet initial furent introduites avec la mise en œuvre d’un plan gothique en croix latine. Toujours de Maitani est la façade imposante à trois gables et trois pignons (1310). L’achèvement du transept fut réalisé avec la Chapelle du Corporal (1350-1355) et la Chapelle de Saint Brice (1408). A l'intérieur, outre la Chapelle du Corporal, construite autour de 1350 par Andrea Pisano pour abriter la relique du miracle de Bolsena et les diverses chapelles structurées avec voûtes croisées, se trouve la Chapelle de Saint Brizio où se trouvent d'importantes peintures où le Frère Jean de Fiesole Beato Angelico, Benozzo Gozzoli, Perugino et à partir de 1499 Luca Signorelli réalisèrent des fresques dédiées au "Jugement Universel" et aux règnes célestes de "l'Enfer et du Paradis". Dans le transept on peut admirer une Pitié du XVI° siècle.
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PUIT DE ST. PATRICK
Orvieto est une ville construite sur un promontoire volcanique. Au 16e siècle, après le sac de Rome, le Pape Clément 7 vint s'y réfugier. Pour assurer le ravitaillement en eau de la ville, Antonio da Sangallo le jeune construisit ce puits étonnant. D'abord il est profond de 62m. Et ce qu'il a de particulier c'est qu'il possède 2 rampes parrallèles en colimaçon pour y descendre et qui ne se rencontrent jamais. L'une pour la descente des ânes et mulets, l'autre pour la remontée.
En bas, on passe sur un pont, on charge l'eau et la bête remonte de l'autre côté. Pas besoin de lumière. La descente et la remontée possèdent des fenêtres qui ouvrent sur le trou central. Ainsi, hommes et bêtes disposaient d'eau à volonté, en toute circonstance.
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CAPELLE DU CORPORAL
Dans le bras gauche du transept, s’ouvre la Chapelle du Corporal (1350-1355) qui tire son nom du reliquaire du Corporal, réalisé par Ugolino di Vieri en argent recouvert d’émaux translucides, qui contenait la petite nappe d'autel du miracle de Bolsena. En 1263, un prêtre de Bohème disant la messe vit du sang suinter de l’hostie et tâcher le corporal qui recouvrait l’autel. Le pape Urbain IV demanda qu’on transporte le corporal à Orvieto. En réalité, le linge sacré est désormais exposé dans le tabernacle en marbre (1358) placé sur l’autel. Le cycle de fresques d’Ugolino di Prete Ilario qui décore la chapelle raconte l’histoire du Corporal.
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CHAPELLE DE SAN BRIZIO
Du côté droit de la croisée, on peut accéder à la Capella Nova ou Capella San Brizio (1408) qui figure parmi les plus importants témoignages de la peinture italienne. La conception spatiale particulière de la chapelle et le cycle de fresques qui la décorent, réalisées en partie par Fra Angelico (1447-1449) et achevées par Luca Signorelli (1499-1504), font de cette chapelle un cas unique dans l’art italien. Signorelli conçut la chapelle comme une sphère où, autour de l’observateur, tous les points ont la même importance. Le peintre, se conformant au programme des chanoines de la cathédrale, cherche à frapper l’imagination des fidèles dans la tradition de la peinture médiévale, en donnant une vision prémonitoire de la fin du monde où l’Humanité devra subir le châtiment de la justice divine. Toute l’eschatologie chrétienne est résumée en cinq scènes : L’Antéchrist, le Jugement dernier, la Résurrection, l’Enfer et le Paradis. Tandis que Fra’Angelico s’attache dans ses deux panneaux à un soin extrême du détail, Signorelli recherche l’effet d’ensemble, par exemple dans le Jugement dernier, accompagné de représentations de type architecturaux comme la colonnade de la partie inférieure ou bien les fenêtres où apparaissent des personnages illustres (Empédocle, Dante, Virgile, Ovide) qui lisent des livres ou des codes, appuyés sur le rebord, en un jeu d’illusions et de perspective qui donne la sensation d’entrer dans la scène peinte. Dans ses compositions, et notamment dans l’Enfer, Signorelli, s’inspirant de Dante, cherche moins à rendre la gloire divine qu’à exprimer le sentiment des êtres humains devant une réalité terrifiante. L’artiste se concentre ainsi sur les êtres qui souffrent dans leur âme et leur corps, dépeint dans un style naturaliste, et qui supplient en exprimant une vaine révolte contre leur sort.
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